Scan barcode
A review by artemissia
Endsinger by Jay Kristoff
5.0
https://songedunenuitdete.com/2021/10/25/la-guerre-du-lotus-t3-endsinger-de-jay-kristoff/
En toute franchise, ce troisième tome est à la hauteur de mes attentes même si ici, Yukiko apparait plus fragilisée, moins sûre d’elle. De fait, on suit pas mal de protagonistes parce que ce combat, cette guerre n’est plus simplement une question de vengeance. Toujours manipulé par les Guildiens, Hiro n’a qu’une obsession : tuer Yukiko. De fait, il apparait plus faible et beaucoup autour de lui conteste sa position en tant que Shogun. Cependant, ce personnage n’est pas si manichéen qu’il y parait de prime abord. On en apprend plus sur lui grâce à l’intervention de ses parents que nous rencontrons pour la première fois dans ce troisième volume. Mais je n’en dis pas plus pour ne pas vous gâcher la lecture (rassurez-vous, je ne l’ai pas apprécié pour autant). Tout comme sur Kin d’ailleurs, mais là c’est différent. D’autres personnages ont su me toucher comme Hana, entre autres, et certains m’ont déçue.
Il y a beaucoup de révélations (on découvre enfin le passé de Buruu !) et de rebondissements également qui ont su me tenir en haleine tout du long. Si la quête de Yukiko diverge quelque peu de la guerre qui fait rage, j’ai été agréablement surprise de voir qu’elle ne tient pas seule le beau rôle. J’ai été aussi très triste quant au devenir de certains protagonistes et la fin m’a paru bien douce-amère.
Endsinger, clôt La Guerre du Lotus de manière magistrale. Dans ce troisième tome, tout s’emballe et la venue des Gaijins va donner encore un coup de fouet à l’intrigue (là encore, je ne vous révèle rien, il faudra que vous le lisiez). Jay Kristoff manie le suspens avec brio et n’est pas avare d’actions non plus. C’est une tempête menée tambour battant par tout un panel de personnages qui se révèlent tous aussi intéressants que cette chère Yukiko. Même si ici, elle peut décevoir certain, car elle semble plus passive et crédule. Après, pour ma part, j’ai trouvé ce personnage assez réaliste dans sa construction. Elle n’est pas indestructible ni infaillible. Pour ce qui est de Kin, c’est dur de vous parler de lui sans spoiler, on va en apprendre plus concernant sa trahison et il a su me surprendre. En bon, ou mauvais, je ne vous dis pas.
Bien, je relis un peu ce que je viens de vous écrire et il m’est difficile de parler d’Endsinger en détail sans vous spoiler. Je dirais que si vous avez accroché et aimé les deux premiers tomes, celui-ci devrait vous ravir. À mon sens, il boucle très bien cette trilogie. Je dirais même que c’est un sacré feu d’artifice. Je m’en suis pris plein la figure entre action, aventure, rebondissements, révélations, déceptions sur certains personnages, surprises sur d’autres… et j’ai également versé quelques larmes, parce qu’il y a des moments super tristes.
En quelques mots : La Guerre du Lotus est une excellente trilogie de fantasy asiatique servie par une plume et une imagination débordante ! Jay Kristoff est en train de devenir une de mes références dans ce genre. J’adore ce qu’il écrit. Voilà, c’est dit.
En toute franchise, ce troisième tome est à la hauteur de mes attentes même si ici, Yukiko apparait plus fragilisée, moins sûre d’elle. De fait, on suit pas mal de protagonistes parce que ce combat, cette guerre n’est plus simplement une question de vengeance. Toujours manipulé par les Guildiens, Hiro n’a qu’une obsession : tuer Yukiko. De fait, il apparait plus faible et beaucoup autour de lui conteste sa position en tant que Shogun. Cependant, ce personnage n’est pas si manichéen qu’il y parait de prime abord. On en apprend plus sur lui grâce à l’intervention de ses parents que nous rencontrons pour la première fois dans ce troisième volume. Mais je n’en dis pas plus pour ne pas vous gâcher la lecture (rassurez-vous, je ne l’ai pas apprécié pour autant). Tout comme sur Kin d’ailleurs, mais là c’est différent. D’autres personnages ont su me toucher comme Hana, entre autres, et certains m’ont déçue.
Il y a beaucoup de révélations (on découvre enfin le passé de Buruu !) et de rebondissements également qui ont su me tenir en haleine tout du long. Si la quête de Yukiko diverge quelque peu de la guerre qui fait rage, j’ai été agréablement surprise de voir qu’elle ne tient pas seule le beau rôle. J’ai été aussi très triste quant au devenir de certains protagonistes et la fin m’a paru bien douce-amère.
Endsinger, clôt La Guerre du Lotus de manière magistrale. Dans ce troisième tome, tout s’emballe et la venue des Gaijins va donner encore un coup de fouet à l’intrigue (là encore, je ne vous révèle rien, il faudra que vous le lisiez). Jay Kristoff manie le suspens avec brio et n’est pas avare d’actions non plus. C’est une tempête menée tambour battant par tout un panel de personnages qui se révèlent tous aussi intéressants que cette chère Yukiko. Même si ici, elle peut décevoir certain, car elle semble plus passive et crédule. Après, pour ma part, j’ai trouvé ce personnage assez réaliste dans sa construction. Elle n’est pas indestructible ni infaillible. Pour ce qui est de Kin, c’est dur de vous parler de lui sans spoiler, on va en apprendre plus concernant sa trahison et il a su me surprendre. En bon, ou mauvais, je ne vous dis pas.
Bien, je relis un peu ce que je viens de vous écrire et il m’est difficile de parler d’Endsinger en détail sans vous spoiler. Je dirais que si vous avez accroché et aimé les deux premiers tomes, celui-ci devrait vous ravir. À mon sens, il boucle très bien cette trilogie. Je dirais même que c’est un sacré feu d’artifice. Je m’en suis pris plein la figure entre action, aventure, rebondissements, révélations, déceptions sur certains personnages, surprises sur d’autres… et j’ai également versé quelques larmes, parce qu’il y a des moments super tristes.
En quelques mots : La Guerre du Lotus est une excellente trilogie de fantasy asiatique servie par une plume et une imagination débordante ! Jay Kristoff est en train de devenir une de mes références dans ce genre. J’adore ce qu’il écrit. Voilà, c’est dit.