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andybobandy's review against another edition
2.0
I give two stars because it's written well. The actual book itself, one of the worst I've read in a long time. Pretty much the whole book is her whining about being in love with this arrogant, selfish Russian guy. Being a fellow, maybe I'm just not "getting it". Truly a painful read.
cargglez's review against another edition
3.0
Dios. No voy a negar que me costó terminarlo, se me hizo cuesta arriba. Me gustó muy a secas, y se sentía un poco repetitivo el estilo diario, al menos en esta historia que tampoco me parecía tan interesante para mí. Y eso que marqué muchas frases por lo identificada que, por desgracia, me sentía con cosas que sentí hace algo de tiempo. Eso sí, seguiré leyendo a Ernaux porque tiene un estilo increíble.
ilaria_ilady's review against another edition
5.0
Stupendo come tutti i libri dell'Ernaux. Questo si differenza per la sua crudità essendo i diari. Tutte le emozioni che attraversano una storia d'amore passionale e clandestina fatta di silenzi e attesa si ritrovano nelle sue pagine. Una gemma da assaporare a piccole dosi.
annie_et_sa_bibli's review
4.0
J’ignore pourquoi j’ai autant tardé à découvrir les écrits d’Annie Ernaux, moi qui suis fan des récits de l’intime. L’autrice ayant remporté le prix Nobel de littérature l’an dernier, j’ai décidé de débuter mon exploration de son œuvre.
Dans “Se perdre”, Annie Ernaux nous raconte l’aventure amoureuse passionnée qu’elle a vécu vers la fin des années 80 avec un jeune diplomate russe - et marié - en poste à Paris. L’autrice nous ouvre son journal intime de l’époque, retranscrit intégralement, sans modification ni retranchement. Elle nous dit s’être aperçue “qu’il y avait dans ces pages une “vérité”, (...) quelque chose de cru et de noir, sans salut, quelque chose de l’oblation (...) qui devait être porté au jour”.
Dès les premières pages, je me suis retrouvée immergée dans cet univers qui m’était à la fois étranger et tellement familier. Le format du journal intime ne fait qu’accentuer le caractère répétitif du cycle qui va de paire avec la passion dévorante. L’excitation avant le rendez-vous, les jeux amoureux, l’extase, le contentement, puis le sentiment lancinant d’attente, le manque, la tristesse, la désespération, le désert intérieur jusqu’au prochain coup de fil… Un désir d’un soir que l’on finit bien malgré nous, au fil des semaines, des mois et dans ce cas-ci des années, à façonner en véritable intimité.
Même si l’issue de cette histoire était déjà toute tracée, je le savais, ils le savaient, je n’ai pu faire autrement que de me laisser emporter au cœur de la tempête. Parce qu’il y a des rendez-vous auxquels on ne saurait et ne pourrait résister. Une lecture envoutante.
Dans “Se perdre”, Annie Ernaux nous raconte l’aventure amoureuse passionnée qu’elle a vécu vers la fin des années 80 avec un jeune diplomate russe - et marié - en poste à Paris. L’autrice nous ouvre son journal intime de l’époque, retranscrit intégralement, sans modification ni retranchement. Elle nous dit s’être aperçue “qu’il y avait dans ces pages une “vérité”, (...) quelque chose de cru et de noir, sans salut, quelque chose de l’oblation (...) qui devait être porté au jour”.
Dès les premières pages, je me suis retrouvée immergée dans cet univers qui m’était à la fois étranger et tellement familier. Le format du journal intime ne fait qu’accentuer le caractère répétitif du cycle qui va de paire avec la passion dévorante. L’excitation avant le rendez-vous, les jeux amoureux, l’extase, le contentement, puis le sentiment lancinant d’attente, le manque, la tristesse, la désespération, le désert intérieur jusqu’au prochain coup de fil… Un désir d’un soir que l’on finit bien malgré nous, au fil des semaines, des mois et dans ce cas-ci des années, à façonner en véritable intimité.
Même si l’issue de cette histoire était déjà toute tracée, je le savais, ils le savaient, je n’ai pu faire autrement que de me laisser emporter au cœur de la tempête. Parce qu’il y a des rendez-vous auxquels on ne saurait et ne pourrait résister. Une lecture envoutante.
spav's review against another edition
3.0
If there is something I cannot cope with is writing and interpreting of dreams…and then there is the angst…Three stars for how engaging the first third of the diaries are.
ximena_fbz's review against another edition
4.0
“Por la mañana, al levantarme, sé que vivo un duelo, el de una pasión.”
Creo que nunca superaré este libro, subrayé tanto y recuerdo tanto que casi me gustaría hacer una exposición con diapositivas de esta historia.
Aunque prefiero “Pura pasión” por encima de este libro porque es más sencillo y corto, sin duda leer “Perderse” es como si pudieras enterarte de más detalles y completar su historia. Lo único que no me gustó de este libro fue haberme identificado tanto, aún no sé si leerlo me abrigó o me destrozó más.
Ojalá que Annie sea eterna.
Creo que nunca superaré este libro, subrayé tanto y recuerdo tanto que casi me gustaría hacer una exposición con diapositivas de esta historia.
Aunque prefiero “Pura pasión” por encima de este libro porque es más sencillo y corto, sin duda leer “Perderse” es como si pudieras enterarte de más detalles y completar su historia. Lo único que no me gustó de este libro fue haberme identificado tanto, aún no sé si leerlo me abrigó o me destrozó más.
Ojalá que Annie sea eterna.
stuartpennebaker's review against another edition
5.0
read if you like Joan Didion, never responding to the group chat, wallowing, owning a vibrator